Les Ricains puritains ont perdu leur Latin!

Le Général De Gaulle a mal géré la guerre d’Algérie. Après son referend’homme il est parti dans son petit village aux deux églises (et trois habitants). L’on dit que là il Pompidou, Couve de Murville et Chie-rac.! Après avoir vaincu La Gaulle, Astérix et périls, Rome a lancé les guerres Puniques contre Carthage la Phénicienne, menée par Hannibal le vaillant cannibale à dos d’éléphant. Il a bien failli faire la nique à Tunis aux Romains en tuniques, rassemblés en formation d’oignons (de quoi je me mêle?). Les éléphants comme vous le savez ça se trompe énormément. Il paraît que dans la mêlée, ils ont pris leurs vessies pour des lanternes et aplatissèrent pêle-mêle les Cartilagineux au lieu de leurs copains Romains!

Dans l’Amérique d’aujourd’hui, c’est plutôt l’avènement des guerres Pudiques. Victoire est un mot du passé à ne jamais plus prononcer. C’est la « Victorian era » de nouveau. Eh oui! Voulant coûte que coûte être BCBG (bon chic bon genre), les Ricains puritains devinrent PCBJ (Politically Correct in Blow Jobs) à tire-larigot. La doctrine PC ne blague pas: les hommes doivent faire une pipe à un monsieur qui fait de la voile et de la vapeur (AC/DC) au moins une fois l’an, aux bacchanales (qui ont remplacés Noël); et les femmes doivent en faire une à un transgenre de leur choix une nuit de pleine lune. Si ce n’est pas fait avec Youtube preuve à l’appui, le délinquant récalcitrant doit faire une semaine de taule avec des condamnés à vie. Le BJ au vit est bien entendu leur sport favori, et le délinquant sera bien guéri!

Au tournant du XXème, les soldats Russes étaient accostés dans les cafés par les petites dames de Paris: « Viens chez moi, j’ai le comfort, chuchotaient elles. « Je n’ai pas la bite rude du comfort dans mon pays » répondait Vladimir, « mais Bistra! Bistra! бистра! бистра! (bite! bite!) allons-y avant que mon capitaine m’interpelle. C’est ainsi donc que, grâce aux soldats Russes, naquit le Bistro, symbole du Fast Food Français (FFF). Cela pourrait très bien être les initiales d’un des partis politiques français, présents ou futures. Il y’a en tellement que l’on ne sait plus vraiment. J’ai cru que la salade russe aussi venait de là; mais la meme salade en Russe s’appelle Olivier, qui est un nom Français bien sûr. Il s’en suit que la salade russe est en faite Française et a émigré illégalement en Russie. Dans quel monde vivons-nous? Cela Mexique énormément!

La guerre ces jours-ci c’est en Mais-au-pot-ton-amie. Quand t’a peur du tigre, l’oeuf rate et tu fais une fausse couche. Au bas mot, c’était la politique extérieure d’Obama. Au bas mot, dans quelle baraque nous a-t-il tous mis?

He walked a bit like an Egyptian at times during his apology tour. You would think he understood something about ISIS or even Osiris. Na! He just liked to think of himself as the Farao. He wanted to distribute your wealth, he destroyed your health instead. In the meantime, Dr Guillotin de Daesh is back in business but Marie Antoinette is no longer his prey. It is anybody with a head on his/her shoulders!

Mais c’est l’Amérique quand même: FLATULAT NEC VERGETURES! Comme la Mairie de Paris, elle chavire un peu mais ne coule pas. Mr. de Tocqueville serait vraiment déçu de l’Amérique d’aojourdhui. Il aurait dit à Amerigo: « Vespucci fait pas chier! » Le Latin est-il perdu à jamais? Mais Carthage vit toujours en chacun de nous Phéniciens ou Américains. Rappelez-vous ce jeune poète du pays d’Hannibal: …                                               اذا الشعب يوما اراد الحياة لا بد ان يسثجيب القضر  (if the people one day wanted life again, destiny will oblige)…et Enfin Malherbe vint…Donald Trump came!

Cross-Lingual Homophones and Homographs

I started this approach first with my children to help them remember certain words, especially in Arabic or Russian. Then I realized that there are plenty of “cross-lingual homophones” that can so use didactically. Let us peruse some:

Mille in French, Spanish and Italian spells like Mile in English but really means thousand. In Arabic it means Alf ((الف which really sound like a youngster working for Santa Claus, Elf. Lots of cross-lingual hoops for a 3-4 letter word but it is now
indelible in the kids’ brains.

Baggage in French is the same in English and Russian; but suitcase is valise in French and Chemedan (цемедан) in Russian; except the latest word sounds exactly like Chemeedan شمعدان)) in Arabic, the latter meaning Candelabra! That of course means Candelabre in French. Still no baggage connection.

From the latin Tempus we have Temps in French and Tiempo in spanish and italian. It means both time and weather. In Arabic it is two different words respectively Wakt (وقت) and Tax (طقص). The latter word is self-explanatory in English and has nothing to do with the weather. Staying on this topic, weather means Pagoda (пагода) in Russian which is quite similar to Pagode in French, which means Buddhist edifice and in Brazilian, a style of music. What is the connection?

The Latin Citrus gave Citron in French and Limone (лимон) which sounds like Lemon in English and Laimoon (ليمون) in Arabic, except the latter means orange in Arabic and not Lemon. The latter is Hamod (حامود) in Arabic.

To feel in English sounds like Feel (فيل) in Arabic, which means elephant. Now Fil in French means Thread and Fille means Girl. Definitely no connection between the girl and the elephant, except for the cross-lingual memorization value.

Pêcheur and pécheur sont homophones and almost homographs, they mean respectively fisherman and sinner in English. There is definitely a connection between Jesus and his disciples fishermen by trade and fishermen of souls so the French language seems to illustrate this fact unlike all others.

Sin in English is homophonic with Sin (سن) tooth in Arabic. Unless one makes a lose connection with the Hamourabi code of punishment “an eye for an eye and a tooth for a tooth”, the similarity between sin and sin is purely phonetic. Now Sin (сын) in Russian means Son which is purely homophonic unless you want to consider a deeper connection like Cain killing Abel as a sin committed by the son of Adam and Eve, or any other such examples.

Brother in Russian is Brat (брат) which is a homophone of brat in English. Truly one’s brother can be a brat. This is better illustrated in Arabic where brother is Akh (اخ) and sister is Akht (اخت), the first signifying pain and the latter sounding like a spit.

Finally Edamame in Japanese somehow made its way into the word Edame (اضامي) in Arabic, except the former is a form of green bean, while the latter is a dried chick pea. This homophonia is only partial I reckon but it is with Japanese nonetheless.
Two expressions in Arabic are deep in meaning and intreaguing because of the quasi-homophony: في المساعدة السعلدة (Fi al musaadat al saadat) which means “There is happiness in helping) and في الامان امن (Fi al iman amen) which means “There is safety in believing”. I have used these two meaning-loaded sentences repeatedly with my children for linguistic/didactic purposes, and cannot help but wonder: Did the Arabs heed their real meaning or was it just happenstance. Certainly the former would be very timely in today’s world.

Palsambleu!

Effectivement j’ai pas le sang bleu, d’autant plus que ce juron veut plutôt dire: de par le sang de Dieu!

Avec tous ces europeéens qui ont plus de particules que de parties-têtes, on se croiraient encore à l’époque pré-revolutionnaire où la noblesse régnait. Ma copine parisienne (1980) avait même deux particules (De Beuzelin de St Ours) et elle était bien douée de ce côté-là. Parfois il y a un nom puis une particule comme mon ami Hervouet des Forges.

Quoique ce n’est plus tellement le temps des barrons larrons, des (ac)comtes et des vi(ce)-comtes, les Brits sont les plus acharnés à garder leurs titres de noblesse. Résultat: une floppée de Lords dégénérés, mais la reine tient bon à sa (basse)court. Tout ce decorum fait beaucoup de pognon à l’UK. C’est K Okay, comme on dit. Un titre qui me fait chialer c’est Earl. Cela me fait toujours penser à James Earl Jones, à la fameuse voix de basse, et à “Earl the Pearl” l’illustre basketballer Americain.

Chez les teutons, c’est les van et les von au lieu des de. Seulement pour chaque “von Karajan” il ya plusieurs Hofmann (homme de court, avocat), kaufmann (commerçant), Zuckermann (homme de sucre!). C’est un méli-mélo (mishmash) de melomanes. Les anglo-saxons ont aussi leurs Miller (meunier), carpenter (charpentier) ou mason (maçon). Enfin, il y a les Jones, les Saillards et les Hahns

Chez les Arabes et les Juifs c’est les Ben et les Abou. Plus que la provenance géographique des van/von/de c’est la provenance généalogique qui compte. Qui est le fils de qui. Surtout qui est le père parce que la mère on doit le savoir quand même. On m’a souvent appelé Benjani,  ou le Marquis de la Bejjanière, parfois l’abbé Jani, parfois pire. Le fait est que Bejjani veut dire provenant de Bejjé (banlieu de Byblos) comme Beyrouti, Bhamdouni, etc. Le prefix devient un suffix.

Le titre Marquis est assez intéressant car c’est la même phonétique que Marquee qui veut dire châpiteau en Anglais, comme pour les théatres et les cinémas. Je me demande s’il n’y a pas une légère connection avec le Marquis de Sade. Cela remonte peut-être au temps où les “marquees” présentaient souvent les films de Dracula at du Comte de Frankenstein, ses cousins germains.

Enfin les Russes aussi aiment identifier le père. C’est pour eux un signe de respect à la personne interpelée: Si tu es Julia et ton papa s’appelle Boris, ton nom devient Julia Borisovna et ensuite le nom de famille. Seulement il ya des centaines de Julia Borisovna parce que ce sont des noms très communs donc ce format ne résoud pas tellement le probléme de paternité. Bientôt on aura notre ADN tatoué sur la peau avec des lecteurs electriques qui vont coincer les papas du monde entier. Ceux qui sont sans coeur, devront se tenir à carreau, ou c’est la pique, saperlipopette!

Les noms mixes sont maintenant en vogue, surtout parce que les dames ne veulent plus céder leurs noms de jeunes filles, et parce qu’il y a de plus en plus de couples du même sex. Par ailleurs, avec le taux de divorce, les noms deviennent très complexes. Vive les tatouages et les bar-codes.

Aga-même-nom ordonnait, quand il avait une dent contre quelqu’un qui lui avait dit “mon oeil!”, avec un regard persan, ou “va te faire voir chez les Grecs”: “Prends son pied…ou sa main”.

De toute façon pour ce qui est de la NSC, DNI, NSA, CIA, FBI, FSB, Interpol et tous ces gens à initiales, on n’est déjà qu’une série de numéros! Vous n’avez qu’à demander à St Julien l’Archange, au leaky wick, à Edward Snowjob ou bien mieux à Susan Rice, la psèftomane. Rice rolled the dice one too many times. Riz-ra bien qui pleura la première. Rice should be put on ice for all her vice.

Faire de la Litote sans le Savoir

Mr. Jourdan, dans le Bourgeois Gentilhomme (Molière) faisait de la prose sans le savoir. Faire de la litote sans le savoir s’est encore plus dure. Il faut bien choisir ses mots et en choisir peu.

Un des examples qui m’est resté dans la tête pendant plus de 40 ans c’est le fameux vers du poète Arabe du XIIème siècle le Moutanabbi:
“مكر مفر مقبل مدبر معا كجلمود صخر حطه السيل من علي”
On n’a pas besoin de connaître la langue. on entend le cheval galopper à bride abattue. En 11 mots seulement, le poète décrit tout ce qu’il y a à savoir sur la belle bëte.

Un autre vers plus romantique me vient aussi à l’esprit de Omar Ben Abu Rabiaa:
وقالت الاخرا وقد تيمتها  (et l’autre a dit, que j’avais séduite). Le verbe arabe تيم sonne un peu comme  “Tame”

Ce verbe “to tame” veut dire dompter et non pas séduire, ce qui introduit de façon assez litotique deux concepts intéressants de l’époque: 1) les Arabes de l”Egire adoraient leurs chameaux et les préféraient à leurs femmes. Ils s’en suit peut-être qu’ils domptaient ces dernières et séduisaient les premiers; 2) Omar Ben Abu Rabiaa a peut-être inventé le sado-masochisme sans le savoir, bien avant le Marquis de Sade. Si les chameaux(elles) pouvaient parler!

Bien en avant le Moutanabbi et Abi Rabiaa, mais moins poétique, Pautus le Romain ecrivit une litote très comique, dans sa pièce Menaechmus qui par ailleurs inspira Shakespeare dans la Comedy of Errors: “I’ve wined,I’ve dined, I’ve concubined, and robbed her blind.”

Tout un programme en 3-4 mots = Bravo! Sauf que ces jours-ci les roles seraient renversés et la femme en question Erotium (quel nom!) serait celle qui dirait: “I whined, I pined, I cuckloded him, then robbed HIM blind.” C’est le motto de la Cours de Loi Familiale aux USA.

Enfin, peu après Shakespeare, il y a eu Pierre Corneille et Jean Racine et la litote continua jusqu’à l’avènement des romantiques (Beaudelaire et ses Fleurs du Mal). Voici un vers de Phèdre de Racine, que je trouve très litotique:

“Mon Dieu quelle guerre cruelle, Je trouve deux hommes en moi”.

Pour commencer, Phèdre n’était pas nymphomane. Donc n’allez point dans ce sens luxurieux pour interpréter ce vers très profond. Il s’agit d’une crise aigue de conscience. Carl Jung aurait dit ”je trouve un animus et une anima en moi”. Ce mèlange masculin féminin dans chaque être humain est en fait aussi illustré par la présence dans chacun(e) de testostérone et estrogène à doses différentes.

La litote actuelle est d’un genre tout à fait different. Contrairement à la litote classique décrite ci-haut, qui demande de l’effort et de l’ingénuité, la litote présente s’engorge de paresse et de facilité induite par les gadgets electroniques: LOL (lots of laugh); LMAO (left message to Mao? non en fait beaucoup plus banal: Laughing my ass off!); FYI (for your information), BYOB (bring your own bottle) etc. J’en ai une faite maison. C’est une Q&A (entre deux hommes qui s’engueulent): DYDRYA (does your d…reach your ass?). Si l’autre a le malheur de répondre yes alors je lui tire le coup de grâce GFYS (go f…yourself). Je trouve que quand c’est abbrévié, c’est plus élégant ou du moins moins insultant, vous ne trouvez pas?

Explorons le Papillon sans charrier

Henri Charrière, condamné à vie, orchestra avec son copain Louis Dega une escapade mémorable qui lui a valu le surnom de “Papillon”.

En Français, papillon rime avec (coureur de) jupon. “Papa c’est papi qui butine de fleur en fleur” “non fiston c’est encore un vieux gras au Viagra!”

Inspirés par les relation amoureuses franco-russes du temps de Napoléon, les Russes nommèrent leur (papi)llon бабочка (grand-mère) pour donner aux Français une bonne proie à papi.

La “farfalla” italienne fait plutôt bouffe, un genre de pasta. Cela a peut-être inspiré le mot arabe فرفور.

L’Arabe littéraire utilise الفراشة، qui ressemble à فراشية. Ce dernier mot veut dire brosse (cheveux, dents, habits). Cela implique effleurage et frottement donc pas loin de papi et бабочка.

L’Espagne l’a nommée “Mariposa”. Marie prend une pose. C’est de la photo ou du Kama Soutra.

Les Allemands si lésinent pas sur leurs intentions belliqueuses. Leur “Schmetterling” ressemble étrangement aux sinistres “Messerschmitts” de la deuxième guerre mondiale.

Finalement les Anglais créèrent “Butterfly” qui n’a rien a voir aver le beurre. Il paraît que le mot vient de “Flutter by”. C”est beaucoup plus descriptif. Néanmoins le mot n’est pas aussi innocent que cela car l’érotisme est aussi impliqué dans l’expression “he gives me butterflies in my stomach” Les espagnol dirait “Mouille bien” (Muy bien = very well).

Morale: Along with cuisine, wine and women, butterflies also define a c

Music the International Language

Rap strangely spells and sounds like rape. Was it done on purpose or was it dictated by the usually violent content to our ears and to women and children? It is now part of the culture, encountering no resistance or outrage, while Trump’s alpha male rants of the past, much less violent, still shock. Give me a break!

In French this vile word means Viol. Why is that also the name of a gentle and soothing music instrument? beats me. There is a whole family here from baby violin to aunt viol (viola) to uncle viola de gamba, to daddy violoncelle and Jeddo contrebasse. Some say that Stradivarius designed the violin after a woman’s body. Don’t know which woman, but apparently she kept eating and eating, hence the other sizes that came about. This still does not explain the strange linguistic proximity between violent(ce) viol(on) and viol(rape). Bref les jeux de mots c’est mon Violon d’Ingres.

Je n’ai pas l’habiterude de jouer du violon sur mon cordon ombilical (ce qui se traduit en Arabe par le mot   عن qui sonne comme le violon et veut dire se plaindre). Je laisse ce privilège aux choeurs de l’armée rouge avec leurs voix de basses très profonde: Kalinka, Kalinka, Kalinka Moyal Калинка, Калинка, Калинка моиал. Une autre chanson russe très “ombilicale” c’est: Отшет Сонуа (prononcée en Arabe: عطصت صونيا   qui veut dire Sonia a éternué, pas du tout le sense “blues” de la chanson russe).

La Country music Américaine et les “blues” sont le plus souvent joués à la guitare. Cependant ils illustrent le jeu de violon sur le cordon ombilical, Leurs notes de guitare sont assez hautes; ce n’est pas (El) Cordonbas.qui a mal-a-gueña.

Les instruments de brasse, comme la trompette, sont les plus machos dans l’orchestre. Ils ont des “Brass balls” comme disent les Américains. On les entends “sonner” dans leurs culottes quand ils essaient les notes très hautes, car bien sûr ils sont presque tous males. La petite histoire raconte que souvent ils trompe(ttent) les violonistes, en titillant leurs ombilics.

Les joueuses de Flute sont toujours en rut majeur…et vaccinées. Elles disent zut aux trompetistes mais aiment les percussionistes. Elles taillent une pipeau à leurs piccolo (petite trompette) zizis. Elles n’y vont pas mollo. Souvent c’est illico presto entre deux intermezzos. Les hapistes aussi aiment se faire harponner par les percussionistes qui leur percutent savamment les fesses. Cela provoque des “cat fights” dans l’orchestre, et plus les filles s’arrachent les cheveux plus les mises montent. C’est acharné mais pas sanglant parce que les ongles de ces musichiennes doivent être courts.

Finally come the horn players, English and French. I do not know why they called their instruments “horn”. I only have three possible explanations: 1) its comes from horned animals like a bull that ram into you, because their instruments are so big, e.g. the tuba); 2) they have horns on their heads because they are cuckolded when they travel too often: 3) horn comes from horny because they are in heat all the time comme des chauds lapins.

Les conducteurs mènent tout ce beau monde au bàton et l’orgie démarre en trombe. Les cris de crescendos sont suivit d’allegrissimo, ensuite c’est l’adagio des joueurs de piano ma non troppo. La cacaphonie est en plein climax, le bâton monte au max mais ne monte plus…il n’y a plus rien à faire. Le conducteur s’est fait boire sa coupe jusqu’à l’hallali.

Ma philosophie: make music not war! Dégainez vos pipeaux et rengainez vos épées. Frappez vos tambourins et non pas vos voisins! F… the harpist do not pluck her strings!

Now I will wrap this solliloquy that started with rap and ended on a much nicer tone.

What is COMmon to many languages is the COMfortable starting point

Learning a new language often generates anxiety, fear of the unknown. Thus it is essential to instil a considerable degree of comfort into the experience. Since fear of the unknown is the instigator, then alleviate that by drawing on similarities between languages.

My 7 year old  son is learning French in a US private school but shies away anytime I ask him something in French. Recently I have started with asking him to spell English words ending with table, tion, sion then having him pronounce those very same words in French pointing out that both meaning and spelling are the same. Pronunciation v. Meaning and spelling, that is one unknown against two known: le tour est joué, comme on dit en Français!

Comfort also comes in other ways like when the word sounds very much like the act it descrribes. Arabic is replete of such instances and I will demonstrate a few that worked well with my 10 year old Joey.

جوي غطص في المغطص و عطص

(Joey ghatasa fi al maghtas wa зtasa) which means that Joey jumped into the bathtub and sneezed. Compare the Arabic and English sentences and how much more directly descriptive of the action down to the “splash” in the water and the AATCHOUM for зtasa the Arabic sentence is. Also bathtub and the action of jumping into it are practically the same word in Arabic. Another source of comfort: less memorization needed.

Another quick example: the cat attacks and the mouse flees under the bed (in Arabic: Al herr farra wara al fara taht al takht).

فرى الهر وراء الفارا تحت التخت

Clearly the Arabic sentence is much more descriptive and phonetically pleasing with herr/farra/fara and taht/takht. Again easier to memorize because of those characteristics.

Another phonetic Arabic classic اكل الكوسى موسى (Akala Al Koosa Moosa), meaning Moses ate the zucchini, sounds so much musical in arabic.

Russian has the “KH” in common with Arabic and the “J” in common with French.

Yet Russian is notorious for the use of too many letters (36 in their alphabet) especially consonants. A glaring example is the word half: In Arabic it is the shortest ) نصNos); in English (half), longer; in French moitié, even longer; in Russian половина (Polovinia), longest! Logically a word meaning half is expected to be short! No wonder the Arabs invented Algebra.

Cross-language calembours could be really comical. For example ХАРАЧО (Kharashow) could mean hot (chaud in French) shit (Khara in Arabic).